en réduisant drastiquement, au moyen d’une « boîte à outils » efficace et sous une obligation de résultat, les surfaces agricoles détruites par le grand gibier, et en octroyant un droit permanent de défense des troupeaux aux éleveurs des territoires prédatés (loups, lynx, ours…) parallèlement à la mise en place des plans de régulation des prédateurs bâtis en étroite concertation avec les acteurs locaux pour limiter au maximum les attaques.