en étendant le financement public d’un diagnostic carbone à toutes les exploitations agricoles d’ici 2025, en encourageant fiscalement (crédit d’impôt, exonération des plus-values…) le renouvellement des agroéquipements vers le « bas carbone », favorisant la protection et la vie des sols, la préservation de la biodiversité, la qualité de l’air et de l’eau, la diminution des intrants ou bien encore la limitation de la consommation de carburants.